Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
- MaRu San
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Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
Cela fait un certains temps que j'ai commencé à écrire et à rechercher. mais voilà seulement que je publie. en espérant que cela vous plaira et vous apprendra des choses. N'hésitez pas à me faire des remarques ou à me donner des infos supplémentaires. J'ai toutefois essayé de faire le plus documenté et le plus objectif possible. je tenterai d'y insere quelques images par-ci par-là dès que je peux. il ne me reste qu'a vous souhaiter une bonne lecture!!
Préambule :
Ces répliques que l'ont appelle aujourd'hui "Classic Airsoft" sont très méconnues. pour ma part, j'ai fais mes premiers pas en mars 1998, et déjà a cette époque, on n'en parlai que très rarement. Cependant, c'est de cette façon que j'ai appris l'existence de ces répliques si particulières. Chose que je tente de vous transmettre par le biais de cette section. Ces répliques se font aujourd’hui assez rares mais se trouvent encore sur le net (forums principalement), ou auprès de particuliers. Ces répliques ont une valeur qui est très aléatoire, puisqu'on trouve des modèles assez commun à partir de 200€, jusqu'à des modèles très spéciaux à plus de 1000€. un peu comme les AEG quoi!!
Les Classic Airsoft : les ancètres des GBBR.
La situation initiale : au Japon, il y a près de trente ans.
Il me paraît important de préciser avant tout autre chose, que les américains revendiquent à tort les premiers pas de l’Airsoft. En effet, au milieu des années 50, Mattel a sorti des pistolets qui tiraient des billes. En Réalité, ces répliques étaient dédiées au tir sur cible, mais certains se livraient à des parties comme nous les pratiquons aujourd’hui. Seulement ces répliques se rapprochent plus de ce que l’on appelle aujourd’hui les « Air Guns », tirant des billes en métal de 4.5mm à des puissances de 2 à 5 joules. De ce fait, il y a eu de très nombreux cas de blessures, et plusieurs morts. Ces pistolets ont donc été très rapidement retirés de la vente. Ceci dit, rendons à César ce qui lui appartient, ils ont tout de même eu l’idée en premier. Néanmoins, du fait des moyens de communications encore rudimentaires et suite à la seconde guerre mondiale (et donc aux relations Japon - USA), je doute que jes japonais aient volontairement usurpé l'idée.
Rappelons que notre discipline est apparue après la Seconde Guerre mondiale, car les américains avaient annexé le Japon, et interdit toutes les armes, même démilitarisées ou inertes. A la base, ce qui est aujourd'hui l’Airsoft n’était donc qu’une réponse à cette loi pour la contourner. Les premières « répliques » sont apparues vers le milieu des années soixante, et étaient vendues sous forme de kits, semblables à des ceux pour le modélisme. Ensuite début des années soixante-dix, sont venus les « Model Guns », qui eux sont en métal et simulent les sensations de tirs grâce à des amorces. Les premières véritables répliques d’Airsoft sont apparues au milieu des années 70. Le réalisme était moindre que sur les Models Guns, industrie un peu plus âgée et plus structurée, mais elles avaient le gros avantage de pouvoir tirer. La fiabilité et réalisme n’étaient donc pas au rendez-vous, principalement car ce n’étaient que les balbutiements de la discipline. Les productions étaient donc petites, et les marques peu nombreuses. Les fabricants n’osaient donc pas trop se lancer. Ces modèles étaient donc assez chers et réservés aux passionnés ou aux gens aisés.
Quelques fabricants se sont donc unis pour mettre leurs connaissances en commun. Ces unions auront perduré jusqu’à la chute des Classic Airsoft. Elles ont donc permit de créer des modèles plus fiables et plus réalistes. Malgré tout, la mise en œuvre et le fonctionnement paraissaient toujours complexes, principalement car les moyens de communication n’étaient pas aussi développés qu’aujourd’hui. De ces ententes ont émergés deux groupes principaux, qui ont imposés deux standards : JAC-ASAHI et MGC. Ces marques avaient bien sûrs d’autres alliés, mais elles étaient les principales lors du déclin. Même si cela nous paraît plus compliqué, cela fonctionnait très bien, et n’empêchait les japonais en rien d’organiser des parties réunissant déjà plusieurs centaines de joueurs. Bref, les constructeurs s’apprêtaient à rentrer dans les années 90 avec sérénité. L’avenir semblait radieux.
Mais le sort voulu que Tokyo Marui, petit fabricant de répliques pas forcément réputées, vienne tout chambouler. Marui avait plusieurs cordes à son arc, notamment une filiale de voitures télécommandées. Ils se sont donc inspirés de cette technologie pour pouvoir palier le défaut majeur des répliques Classic : Le système de gaz. En quoi est-ce un défaut ?? Soit la réplique fonctionnait avec du green gaz, soit avec de l’air comprimé. Dans le premier cas, le jeu en hiver est difficile, dans le second cas, il faut transporter une réserve de paint-ball reliée à la réplique. Marui a donc chamboulé cet équilibre en sortant le FAMAS, en 1991.
Préambule :
Ces répliques que l'ont appelle aujourd'hui "Classic Airsoft" sont très méconnues. pour ma part, j'ai fais mes premiers pas en mars 1998, et déjà a cette époque, on n'en parlai que très rarement. Cependant, c'est de cette façon que j'ai appris l'existence de ces répliques si particulières. Chose que je tente de vous transmettre par le biais de cette section. Ces répliques se font aujourd’hui assez rares mais se trouvent encore sur le net (forums principalement), ou auprès de particuliers. Ces répliques ont une valeur qui est très aléatoire, puisqu'on trouve des modèles assez commun à partir de 200€, jusqu'à des modèles très spéciaux à plus de 1000€. un peu comme les AEG quoi!!
Les Classic Airsoft : les ancètres des GBBR.
La situation initiale : au Japon, il y a près de trente ans.
Il me paraît important de préciser avant tout autre chose, que les américains revendiquent à tort les premiers pas de l’Airsoft. En effet, au milieu des années 50, Mattel a sorti des pistolets qui tiraient des billes. En Réalité, ces répliques étaient dédiées au tir sur cible, mais certains se livraient à des parties comme nous les pratiquons aujourd’hui. Seulement ces répliques se rapprochent plus de ce que l’on appelle aujourd’hui les « Air Guns », tirant des billes en métal de 4.5mm à des puissances de 2 à 5 joules. De ce fait, il y a eu de très nombreux cas de blessures, et plusieurs morts. Ces pistolets ont donc été très rapidement retirés de la vente. Ceci dit, rendons à César ce qui lui appartient, ils ont tout de même eu l’idée en premier. Néanmoins, du fait des moyens de communications encore rudimentaires et suite à la seconde guerre mondiale (et donc aux relations Japon - USA), je doute que jes japonais aient volontairement usurpé l'idée.
Rappelons que notre discipline est apparue après la Seconde Guerre mondiale, car les américains avaient annexé le Japon, et interdit toutes les armes, même démilitarisées ou inertes. A la base, ce qui est aujourd'hui l’Airsoft n’était donc qu’une réponse à cette loi pour la contourner. Les premières « répliques » sont apparues vers le milieu des années soixante, et étaient vendues sous forme de kits, semblables à des ceux pour le modélisme. Ensuite début des années soixante-dix, sont venus les « Model Guns », qui eux sont en métal et simulent les sensations de tirs grâce à des amorces. Les premières véritables répliques d’Airsoft sont apparues au milieu des années 70. Le réalisme était moindre que sur les Models Guns, industrie un peu plus âgée et plus structurée, mais elles avaient le gros avantage de pouvoir tirer. La fiabilité et réalisme n’étaient donc pas au rendez-vous, principalement car ce n’étaient que les balbutiements de la discipline. Les productions étaient donc petites, et les marques peu nombreuses. Les fabricants n’osaient donc pas trop se lancer. Ces modèles étaient donc assez chers et réservés aux passionnés ou aux gens aisés.
Quelques fabricants se sont donc unis pour mettre leurs connaissances en commun. Ces unions auront perduré jusqu’à la chute des Classic Airsoft. Elles ont donc permit de créer des modèles plus fiables et plus réalistes. Malgré tout, la mise en œuvre et le fonctionnement paraissaient toujours complexes, principalement car les moyens de communication n’étaient pas aussi développés qu’aujourd’hui. De ces ententes ont émergés deux groupes principaux, qui ont imposés deux standards : JAC-ASAHI et MGC. Ces marques avaient bien sûrs d’autres alliés, mais elles étaient les principales lors du déclin. Même si cela nous paraît plus compliqué, cela fonctionnait très bien, et n’empêchait les japonais en rien d’organiser des parties réunissant déjà plusieurs centaines de joueurs. Bref, les constructeurs s’apprêtaient à rentrer dans les années 90 avec sérénité. L’avenir semblait radieux.
Mais le sort voulu que Tokyo Marui, petit fabricant de répliques pas forcément réputées, vienne tout chambouler. Marui avait plusieurs cordes à son arc, notamment une filiale de voitures télécommandées. Ils se sont donc inspirés de cette technologie pour pouvoir palier le défaut majeur des répliques Classic : Le système de gaz. En quoi est-ce un défaut ?? Soit la réplique fonctionnait avec du green gaz, soit avec de l’air comprimé. Dans le premier cas, le jeu en hiver est difficile, dans le second cas, il faut transporter une réserve de paint-ball reliée à la réplique. Marui a donc chamboulé cet équilibre en sortant le FAMAS, en 1991.
Modifié en dernier par MaRu San le 26 avr. 2010, 19:11, modifié 5 fois.
Je fais dans le sonore et le CO2, c'est mon style.
"Elle me parlait souvent en latin, par réaction farouche contre le laissé aller du langage de chez nous, que l'anglomanie écorche à mort." (P. Desproges)
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Re: les balutiements des GBBR.
L’événement perturbateur : Marui et les AEG.
Les répliques électriques s’avèrent donc révolutionnaires dans le principe de fonctionnement. De plus, l’autonomie correcte et un jeu toutes saisons font que cette nouvelle réplique à très vite été un succès. Je dis volontairement "correte" car les batteries d'il y a 20 ans sont évidemment moins performates que celles d'aujourd'hui. Pour celles de l'époque recommandées par Marui, on parlait d'environ 1500 tirs pour une large type.
Il faut avouer, que même si les japonais apprécient les nouvelles technologies, ce n’est pas dût qu’au système de fonctionnement, mais aussi grâce à son look. En effet, Marui a frappé fort, car le Famas est très apprécié au pays du soleil levant, grâce à son design assez sobre et un poil futuriste. De plus, il ne disposait jusqu’à présent d’aucune réplique à son effigie. Sur ce dernier point, Marui à devancé les fabricants de Classic, car sa sortie qui était prévue pour fin 1991, a été repoussée suite à des problèmes de moulages des plastiques (je ne saurais plus dire vc certitude quelle marque, mais il me semble que ce devait être Asahi). Combinés à cela des chargeurs haute capacité et un entretien dérisoire, l’avenir de l’Airsoft à radicalement changé en l’espace de quelques mois.
Il a fallut à Marui de supprimé un défaut des répliques Classic et d’y ajouter un extra (les High-cap), le tout autour d’une nouvelle réplique pour faire tourner la balance en sa faveur et ainsi désarçonner les plus grandes marques de l’époque. En apparence, le pari était osé, mais à y regarder de plus près, on s’aperçoit d'un élément déterminant : Marui travaillait déjà l’électrique (moteurs, batteries, composants) et les engrenages (transmissions dans les voitures télécommandées), ce qui leur à permit de proposer un produit de fiabilité correcte et à moindre coût dès le départ, car ils maîtrisent les procédés et techniques de fabrication. De même, il ne faut pas oublier que le système "Hop Up" n'existe pas encore.
Le matche AEG Marui contre Classic Airsoft.
Face au succcès remporté par le Famas, la famille AEG Marui s’agrandie très vite. Elle accueille les M16 et MP5. Heureusement pour les entreprises de Classic Airsoft, elles ont les reins solides, même si le début de la bataille économique a déjà fait des faillites et changements de secteurs. Elles ont donc revu leurs projets à la baisse, et sortis quelques modèles d’exception, tentant ainsi de se donner un nom de prestige pour survivre. Mais les dés étaient déjà lancés. Les joueurs sont les consommateurs et donc l'arbitre du matche : ils se tournent maintenant vers la nouvelle technologie.
Le coup de grâce est ensuite venu entre 1993 et 1994, lorsque Marui créa le système Hop-Up. Ils se sont inspirés des lifts au tennis et des études de Magnus, pour pouvoir donner de meilleurs atouts balistiques sans pour autant augmenter la puissance. Un joint aplatit sur le dessus donne un effet de rotation à la bille dans le sens inverse de son déplacement, ce qui a pour effet de créer une dépression sur le dessus de la bille et une surpression en dessous de celle-ci (comme sur les ailes d’un avion). La bille vole donc plus facilement, plus loin, et plus précisément.
Cependant, Marui a également prix exemple sur les système de correction de trajectoirequi existaient déjà avant le système Hop-Up. Entre autres, le LRB, « Long Range Barrel », canon longue portée. Le principe est le même, mais réside dans le canon lui-même. L’entrée du canon est cylindrique, et la sortie ressemble à un œuf (pratiquement invisible à 'oeil nu, cela se joue à une ovalité d'a peine quelques centième de mm). Ce qui fait qu’au fur et à mesure de la poussée, l’air passe par en dessous et donne ce lift à la bille. Avec un canon LRB et une vélocité de l’ordre de 400FPS, on a des portées de plus de 90m !! Non, je ne suis pas marseillait, mais sur les plus grand site de videos, Yout*be notamment, on trouve des tests objectifs et précis à ce sujet. Mais ce système est cher et difficile à fabriquer, donc peu de répliques en sont équipées en sortie de boîte. De plus, le système n’est pas réglable (mais le tir est droit, tout grammages confondus) et nécessite quelques modifications, notamment l’usinage d’une gorge pour guider le canon dans la longueur. Ce guidage permet de bloquer la rotation du canon pour que celui ne tourne pas et modifie le tir.
Il existe un autre système de correction de trajectoire : le SCS, pour « Spin Control System », système de contrôle de rotation. Il s’agit d’un petit cylindre concave tournant, à l’entrée d’un canon « ordinaire ». Les performances sont également très correctes. Mais ce système est sensible, et tout comme le LRB, il n’est pas simple à mettre en œuvre. Ce qui donne des disponibilités réduites (voire introuvable) des prix parfois exorbitants.
Le système Hop Up ne fût finalement qu'une évolution de ces systèmes, qui là encore à profité d'un avantage : le coût élevé de la fabrication des autres systèmes. Le Famas ayant bien fonctionné, on injecte un peu d'argent dans du R&D, et nos ingénieurs nous pondent un hop up tout frais tout neuf. en plus, il nous coûte 100Y à fabriquer!!
A partir de ces instants, les entreprises de Classic Airsoft se donc effondrées les une après les autres, même les plus grandes. Aujourd’hui, une grande majorité de ces entreprises sont fermées, mais il en reste quelques une, qui ont malgré tout réussi à survivre, en changeant de secteur d’activité (en passant par exemple aux Models Guns) ou en se convertissant aux nouvelles technologies. Parmi elles, on trouve des sociétés assez connues, comme Marushin, Maruzen, et d’autres plus discrète mais pas moins importantes, comme Kokusai, MGC, Shériff ou Sun Project. Les plus grandes compagnies comme JAC-Asahi et MGC sont tombées d’encore plus haut, car Marui leurs dérobait le marché sur lequel ils étaient les grands acteurs.
Auparavant, la bataille commerciale était presque inexistante, puisque chaque société avait son domaine de prédilection. Ce qui permettait d’avoir des répliques à la fois très abouties, et une diversité assez importante. Ainsi, on ne voyait pas 50 marques différentes proposer des M16 ou des MP5. Mais il y avait de nombreuses répliques aujourd’hui disparues ou méconnues des airsofteurs. A tel point qu’il n’est pas rare de voire sur nos forum des joueurs demandant « Quand un constructeur va-t-il sortir telle réplique ? », alors qu’elle existe en Classic Airsoft. Quelques exemples simples : le calico M1100, le Beretta M12, le WA2000, le AUG SMG, la MG34... bref, les exemples sont nombreux. Mais heureusement pour nous, les fabricants commencent à s'appercevoir que les joueurs veulent autre chose que des répliques banales.
Bref, on en arrive à se demander pourquoi y-a-t-il fallut que Marui vienne foutre le bordel dans ce si joli monde ?!? Pour l’évolution et le progrès, va !! Mais pour ma part, quand je vois les répliques électriques, même celles d’aujourd’hui, par rapport aux Classic, je me demande comment les AEG d’il y a 20 ans ont pu avoir un tel succès. Bref, c’est à coup de moteurs électriques, de chargeurs 300bbs et de joints Hop-Up que Marui a bien faillit éradiquer la « belle époque », et la reléguer au rang de joli souvenir.
J'en profite pour un apparté sur les prix :
Vous l'aurez probablement remarqué, je n'ai pas parlé de prix. Aujourd'hui, on a souvent tendance à dire "oui, mais les répliques à gaz sont chères!". même d'occasion, une bonne réplique Classic tout métal bien upgradée, qui résiste sans soucis à la pression avec LRB et quelques Mas, ca coûte 1000€. oui, mais n'oubliez pas les les tarifs ont énormément baissé depuis 20 ans. A sa sortie, la AK47 S coûtait 5440 Frs Français (pour ceux qui s'en souviennent ! ;=)) environ 850€. Pour les sceptiques, je dispose de scans d'anciens catalogues que tacherais de vous transmettre dans un poste dédié. Et bien sur sans mag (ou un 50bbs quand le vendeur ne vous l'avait pas volé dans la boîte), sans accu, sans chargeur d'accu. Et en prennant les prix de l'époque, on en revient à nos 1000€ env. Alors qu'aujourd'hui, on trouve un M733 Marui pour environ 250€, soit 3 fois moins cher!!! Bon, certes, c'est dût au développement de la discpline et à l'explosion du phénomène Cheap, mais ceci est un autre débat.
Les répliques électriques s’avèrent donc révolutionnaires dans le principe de fonctionnement. De plus, l’autonomie correcte et un jeu toutes saisons font que cette nouvelle réplique à très vite été un succès. Je dis volontairement "correte" car les batteries d'il y a 20 ans sont évidemment moins performates que celles d'aujourd'hui. Pour celles de l'époque recommandées par Marui, on parlait d'environ 1500 tirs pour une large type.
Il faut avouer, que même si les japonais apprécient les nouvelles technologies, ce n’est pas dût qu’au système de fonctionnement, mais aussi grâce à son look. En effet, Marui a frappé fort, car le Famas est très apprécié au pays du soleil levant, grâce à son design assez sobre et un poil futuriste. De plus, il ne disposait jusqu’à présent d’aucune réplique à son effigie. Sur ce dernier point, Marui à devancé les fabricants de Classic, car sa sortie qui était prévue pour fin 1991, a été repoussée suite à des problèmes de moulages des plastiques (je ne saurais plus dire vc certitude quelle marque, mais il me semble que ce devait être Asahi). Combinés à cela des chargeurs haute capacité et un entretien dérisoire, l’avenir de l’Airsoft à radicalement changé en l’espace de quelques mois.
Il a fallut à Marui de supprimé un défaut des répliques Classic et d’y ajouter un extra (les High-cap), le tout autour d’une nouvelle réplique pour faire tourner la balance en sa faveur et ainsi désarçonner les plus grandes marques de l’époque. En apparence, le pari était osé, mais à y regarder de plus près, on s’aperçoit d'un élément déterminant : Marui travaillait déjà l’électrique (moteurs, batteries, composants) et les engrenages (transmissions dans les voitures télécommandées), ce qui leur à permit de proposer un produit de fiabilité correcte et à moindre coût dès le départ, car ils maîtrisent les procédés et techniques de fabrication. De même, il ne faut pas oublier que le système "Hop Up" n'existe pas encore.
Le matche AEG Marui contre Classic Airsoft.
Face au succcès remporté par le Famas, la famille AEG Marui s’agrandie très vite. Elle accueille les M16 et MP5. Heureusement pour les entreprises de Classic Airsoft, elles ont les reins solides, même si le début de la bataille économique a déjà fait des faillites et changements de secteurs. Elles ont donc revu leurs projets à la baisse, et sortis quelques modèles d’exception, tentant ainsi de se donner un nom de prestige pour survivre. Mais les dés étaient déjà lancés. Les joueurs sont les consommateurs et donc l'arbitre du matche : ils se tournent maintenant vers la nouvelle technologie.
Le coup de grâce est ensuite venu entre 1993 et 1994, lorsque Marui créa le système Hop-Up. Ils se sont inspirés des lifts au tennis et des études de Magnus, pour pouvoir donner de meilleurs atouts balistiques sans pour autant augmenter la puissance. Un joint aplatit sur le dessus donne un effet de rotation à la bille dans le sens inverse de son déplacement, ce qui a pour effet de créer une dépression sur le dessus de la bille et une surpression en dessous de celle-ci (comme sur les ailes d’un avion). La bille vole donc plus facilement, plus loin, et plus précisément.
Cependant, Marui a également prix exemple sur les système de correction de trajectoirequi existaient déjà avant le système Hop-Up. Entre autres, le LRB, « Long Range Barrel », canon longue portée. Le principe est le même, mais réside dans le canon lui-même. L’entrée du canon est cylindrique, et la sortie ressemble à un œuf (pratiquement invisible à 'oeil nu, cela se joue à une ovalité d'a peine quelques centième de mm). Ce qui fait qu’au fur et à mesure de la poussée, l’air passe par en dessous et donne ce lift à la bille. Avec un canon LRB et une vélocité de l’ordre de 400FPS, on a des portées de plus de 90m !! Non, je ne suis pas marseillait, mais sur les plus grand site de videos, Yout*be notamment, on trouve des tests objectifs et précis à ce sujet. Mais ce système est cher et difficile à fabriquer, donc peu de répliques en sont équipées en sortie de boîte. De plus, le système n’est pas réglable (mais le tir est droit, tout grammages confondus) et nécessite quelques modifications, notamment l’usinage d’une gorge pour guider le canon dans la longueur. Ce guidage permet de bloquer la rotation du canon pour que celui ne tourne pas et modifie le tir.
Il existe un autre système de correction de trajectoire : le SCS, pour « Spin Control System », système de contrôle de rotation. Il s’agit d’un petit cylindre concave tournant, à l’entrée d’un canon « ordinaire ». Les performances sont également très correctes. Mais ce système est sensible, et tout comme le LRB, il n’est pas simple à mettre en œuvre. Ce qui donne des disponibilités réduites (voire introuvable) des prix parfois exorbitants.
Le système Hop Up ne fût finalement qu'une évolution de ces systèmes, qui là encore à profité d'un avantage : le coût élevé de la fabrication des autres systèmes. Le Famas ayant bien fonctionné, on injecte un peu d'argent dans du R&D, et nos ingénieurs nous pondent un hop up tout frais tout neuf. en plus, il nous coûte 100Y à fabriquer!!
A partir de ces instants, les entreprises de Classic Airsoft se donc effondrées les une après les autres, même les plus grandes. Aujourd’hui, une grande majorité de ces entreprises sont fermées, mais il en reste quelques une, qui ont malgré tout réussi à survivre, en changeant de secteur d’activité (en passant par exemple aux Models Guns) ou en se convertissant aux nouvelles technologies. Parmi elles, on trouve des sociétés assez connues, comme Marushin, Maruzen, et d’autres plus discrète mais pas moins importantes, comme Kokusai, MGC, Shériff ou Sun Project. Les plus grandes compagnies comme JAC-Asahi et MGC sont tombées d’encore plus haut, car Marui leurs dérobait le marché sur lequel ils étaient les grands acteurs.
Auparavant, la bataille commerciale était presque inexistante, puisque chaque société avait son domaine de prédilection. Ce qui permettait d’avoir des répliques à la fois très abouties, et une diversité assez importante. Ainsi, on ne voyait pas 50 marques différentes proposer des M16 ou des MP5. Mais il y avait de nombreuses répliques aujourd’hui disparues ou méconnues des airsofteurs. A tel point qu’il n’est pas rare de voire sur nos forum des joueurs demandant « Quand un constructeur va-t-il sortir telle réplique ? », alors qu’elle existe en Classic Airsoft. Quelques exemples simples : le calico M1100, le Beretta M12, le WA2000, le AUG SMG, la MG34... bref, les exemples sont nombreux. Mais heureusement pour nous, les fabricants commencent à s'appercevoir que les joueurs veulent autre chose que des répliques banales.
Bref, on en arrive à se demander pourquoi y-a-t-il fallut que Marui vienne foutre le bordel dans ce si joli monde ?!? Pour l’évolution et le progrès, va !! Mais pour ma part, quand je vois les répliques électriques, même celles d’aujourd’hui, par rapport aux Classic, je me demande comment les AEG d’il y a 20 ans ont pu avoir un tel succès. Bref, c’est à coup de moteurs électriques, de chargeurs 300bbs et de joints Hop-Up que Marui a bien faillit éradiquer la « belle époque », et la reléguer au rang de joli souvenir.
J'en profite pour un apparté sur les prix :
Vous l'aurez probablement remarqué, je n'ai pas parlé de prix. Aujourd'hui, on a souvent tendance à dire "oui, mais les répliques à gaz sont chères!". même d'occasion, une bonne réplique Classic tout métal bien upgradée, qui résiste sans soucis à la pression avec LRB et quelques Mas, ca coûte 1000€. oui, mais n'oubliez pas les les tarifs ont énormément baissé depuis 20 ans. A sa sortie, la AK47 S coûtait 5440 Frs Français (pour ceux qui s'en souviennent ! ;=)) environ 850€. Pour les sceptiques, je dispose de scans d'anciens catalogues que tacherais de vous transmettre dans un poste dédié. Et bien sur sans mag (ou un 50bbs quand le vendeur ne vous l'avait pas volé dans la boîte), sans accu, sans chargeur d'accu. Et en prennant les prix de l'époque, on en revient à nos 1000€ env. Alors qu'aujourd'hui, on trouve un M733 Marui pour environ 250€, soit 3 fois moins cher!!! Bon, certes, c'est dût au développement de la discpline et à l'explosion du phénomène Cheap, mais ceci est un autre débat.
Je fais dans le sonore et le CO2, c'est mon style.
"Elle me parlait souvent en latin, par réaction farouche contre le laissé aller du langage de chez nous, que l'anglomanie écorche à mort." (P. Desproges)
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Re: les Classic Airsoft : les ancètres des GBBR.
Constat du matche.
Le réalisme des AEG, pourtant si populaire est très souvent inférieur à celui des Classic Airsoft, malgré leur âge. Pour ceux qui n'en n'ont jamais eu entre les mains ou qui n'en n'ont jamais démonté, la différence n'est pas forcément frappante. Ne serait-ce que sur les séries de M16, les répliques à gaz ont fidèlement reproduit les goupilles (avec les systèmes de tétons et ressorts pour les retenir) pour maintenir les deux parties du corps, là où bon nombre de marques d’AEG mettent des vis, ou encore de nombreuses pièces telles que le garde-mains, la crosse ou certaines autres parties sont interchangeables avec les pièces RS (ce qui n’est pas ou peu faisables avec des électriques). De la même façon, certaines formes extérieures (assez discrètes) n'ont pas été fidèlement reproduites sur les AEG (comme la forme extérieur du logement du système de rétention des goupille sur séries M16). Bref, ces légers manques de réalisme n'ont en rien pénalisé la marque, car ce ne sont que d’infimes détails.
La campagne publicitaire de Marui a été relativement bien menée, et le principal support médiatique était une série de minis films publicitaires. Le plus connu de ces minis films est très certainement le « Marui Man » (disponible sur les grands sites de vidéos). Les défauts majeurs sur lesquels ce film a appuyé sont principalement la capacité des chargeurs et "l'encombrement" de la réserve externe et interne de gaz. Mais il est évident que lorsque l'on fait une pub, on insiste sur les défauts des concurrents et l'on met ses propres avantages en avant.
Néanmoins, il faut voir ce film d'un œil plus critique. Au passage, le Marui Man a plusieurs chargeurs d'avance, mais pas ses adversaires : le combat est déjà inégal. La bouteille de gaz genre lance flamme était utilisé comme le sac de billes, c'est à dire que l'on remplit la bouteille de paint-ball de 1L avec, ce qui donne déjà plus de 2500 tirs d’autonomie, alors imaginez avec la bouteille de plongée !! Donc la moralité du cas, c’est qu’on ne sait pas trop ce que cette réserve fait dans le dos du joueur. De même que quand on joue avec une réplique au green gaz, quelqu'un de « normal » ne met pas sa bouteille dans la poche ouverte qui baille le plus, sinon, on la perd forcément. Et enfin, le connecteur rapide de sécurité qui se barre, je n'ai jamais vu ça, car comme son nom l’indique, il s’agit d’éléments de sécurité : il vaut donc mieux qu’il soit sûr !! Quoi qu'il en soit, la pub a beau être ce qu'elle est, les défauts sont là. La réserve externe et le fil peuvent déranger certains, et avec la réserve interne, le joueur est tributaire de la température extérieure, doit avoir de nombreux chargeurs d'avance et/ou remettre du gaz.
Mais le gros accent de cette pub est bien sûr la simplicité de mise en œuvre de la réplique. On charge sa batterie, on la branche, on mets des billes dans le mag, on molète, et la réplique est déjà prête à tirer. Ici, on ne parle pas vraiment sensations de tir, car le Blow Back n'est pas encore répandu (mais existe bel et bien). Le résultat du matche est sans appel ; il faut se rendre à l'évidence, Marui remporte la bataille et élimine rapidement les Classic Airsoft, et ce, au profit des concurrents actuels que nous connaissons tous.
CONCLUSION
C'est donc en ces heures tristes que les Classic Airsoft se ont disparut du marché. Néanmoins, les rares rescapés ont sortit pendant longtemps des modèles rares et d'une extrême qualité. Par exemple, les M16A2 Asahi-ANGS, le WA2000 Asahi, le M1918 Asahi/JAC, la Thompson JAC, la M134 Vulcan Toytec... et parfois, quelques modèles parvenaient jusqu'a nos frontière. L'exemple le plus retenu est le M16A2 Gaz NBB KWC. Pas un modèle d'etxtrême qualité certes, mais un classic Airsoft d'après garde qui à réussit à venir en europe.
Le réalisme des AEG, pourtant si populaire est très souvent inférieur à celui des Classic Airsoft, malgré leur âge. Pour ceux qui n'en n'ont jamais eu entre les mains ou qui n'en n'ont jamais démonté, la différence n'est pas forcément frappante. Ne serait-ce que sur les séries de M16, les répliques à gaz ont fidèlement reproduit les goupilles (avec les systèmes de tétons et ressorts pour les retenir) pour maintenir les deux parties du corps, là où bon nombre de marques d’AEG mettent des vis, ou encore de nombreuses pièces telles que le garde-mains, la crosse ou certaines autres parties sont interchangeables avec les pièces RS (ce qui n’est pas ou peu faisables avec des électriques). De la même façon, certaines formes extérieures (assez discrètes) n'ont pas été fidèlement reproduites sur les AEG (comme la forme extérieur du logement du système de rétention des goupille sur séries M16). Bref, ces légers manques de réalisme n'ont en rien pénalisé la marque, car ce ne sont que d’infimes détails.
La campagne publicitaire de Marui a été relativement bien menée, et le principal support médiatique était une série de minis films publicitaires. Le plus connu de ces minis films est très certainement le « Marui Man » (disponible sur les grands sites de vidéos). Les défauts majeurs sur lesquels ce film a appuyé sont principalement la capacité des chargeurs et "l'encombrement" de la réserve externe et interne de gaz. Mais il est évident que lorsque l'on fait une pub, on insiste sur les défauts des concurrents et l'on met ses propres avantages en avant.
Néanmoins, il faut voir ce film d'un œil plus critique. Au passage, le Marui Man a plusieurs chargeurs d'avance, mais pas ses adversaires : le combat est déjà inégal. La bouteille de gaz genre lance flamme était utilisé comme le sac de billes, c'est à dire que l'on remplit la bouteille de paint-ball de 1L avec, ce qui donne déjà plus de 2500 tirs d’autonomie, alors imaginez avec la bouteille de plongée !! Donc la moralité du cas, c’est qu’on ne sait pas trop ce que cette réserve fait dans le dos du joueur. De même que quand on joue avec une réplique au green gaz, quelqu'un de « normal » ne met pas sa bouteille dans la poche ouverte qui baille le plus, sinon, on la perd forcément. Et enfin, le connecteur rapide de sécurité qui se barre, je n'ai jamais vu ça, car comme son nom l’indique, il s’agit d’éléments de sécurité : il vaut donc mieux qu’il soit sûr !! Quoi qu'il en soit, la pub a beau être ce qu'elle est, les défauts sont là. La réserve externe et le fil peuvent déranger certains, et avec la réserve interne, le joueur est tributaire de la température extérieure, doit avoir de nombreux chargeurs d'avance et/ou remettre du gaz.
Mais le gros accent de cette pub est bien sûr la simplicité de mise en œuvre de la réplique. On charge sa batterie, on la branche, on mets des billes dans le mag, on molète, et la réplique est déjà prête à tirer. Ici, on ne parle pas vraiment sensations de tir, car le Blow Back n'est pas encore répandu (mais existe bel et bien). Le résultat du matche est sans appel ; il faut se rendre à l'évidence, Marui remporte la bataille et élimine rapidement les Classic Airsoft, et ce, au profit des concurrents actuels que nous connaissons tous.
CONCLUSION
C'est donc en ces heures tristes que les Classic Airsoft se ont disparut du marché. Néanmoins, les rares rescapés ont sortit pendant longtemps des modèles rares et d'une extrême qualité. Par exemple, les M16A2 Asahi-ANGS, le WA2000 Asahi, le M1918 Asahi/JAC, la Thompson JAC, la M134 Vulcan Toytec... et parfois, quelques modèles parvenaient jusqu'a nos frontière. L'exemple le plus retenu est le M16A2 Gaz NBB KWC. Pas un modèle d'etxtrême qualité certes, mais un classic Airsoft d'après garde qui à réussit à venir en europe.
Je fais dans le sonore et le CO2, c'est mon style.
"Elle me parlait souvent en latin, par réaction farouche contre le laissé aller du langage de chez nous, que l'anglomanie écorche à mort." (P. Desproges)
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- MaRu San
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Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
Allez y, lâchez vos commentaires!!
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Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
La vache, on ne te vois pas souvent mais quand tu poste ça rigole pas...
En tout cas, merci de cet historique...
@++
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Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
Oui là je dis chapeau mon gars
On apprend plein de trucs et ca fait pas de mal de faire un petit retour aux sources.
Encore merci pour tout ce beau boulot !
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- maka
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Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des
super travail de recherche!!!!
chapeau bas
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qu'un seul vienne et tout les autres suivront
Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
Impressionnant.
Mais bon Marui n'a pas simplement tablé sur les AEG mais aussi sur les répliques à gaz.
Mais bon Marui n'a pas simplement tablé sur les AEG mais aussi sur les répliques à gaz.
- MaRu San
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Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
Justement si. avant 1991, Marui n'a produit que très peu de répliques à gaz (+90% de leur production étaient des spring). Il sno'ont recommencer les répliques à gaz qu'en 1995, avec en moyenne 1 modèle par an jusqu'aux années 2000. Donc SI, lors des débuts des AEG, Marui a tablé principalement sur les AEG, mais tout en gardant une petite partie de leur production pour les springs. les répliques à gaz ne sont venues qu'après.Spok a écrit :Impressionnant.
Mais bon Marui n'a pas simplement tablé sur les AEG mais aussi sur les répliques à gaz.
Je fais dans le sonore et le CO2, c'est mon style.
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Re: Chapitre 1: Classic Airsoft, les ancètres des GBBR
Eh bien, quel boulot , manque plus que quelques photos et tu peut sortir un livre, chapeau et merci.